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La Tour Eiffel et son histoire

Peggy, le 19 mars 2013

Article rédigé par Alain.

Avant de monter dans les étages de cette illustre tour, nous avons voulu connaitre un peu son histoire et sa face cachée.

Pour cela nous avons suivi un guide de l’organisme Cultival. Ce parcours, initié sous la statue de Gustave Eiffel, réalisée par Antoine Bourdelle sous le pilier Nord fut plein de découvertes.

C’est en 1884 que Maurice Kœchlin et Emile Nouguier, ingénieurs dans la société de Gustave Eiffel proposèrent un avant-projet de la tour. A l’époque l’acier était le matériau en plein essor et la société de G. Eiffel avait de belles réalisations à son actif (viaduc de Garabit, pont sur le Douro, …).

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G. Eiffel après quelques hésitations demande de poursuivre le projet et dépose un brevet au nom des trois hommes mais rachète rapidement les droits d’exploitation.

Le 8 janvier 1887, G. Eiffel signe (en son nom personnel et non celui de son entreprise) une convention qui fixe, entre autres, les conditions relatives à l’emplacement géographique de la tour et les coûts estimés devant être engagés pour sa construction  mais l’article 11 précise qu’à partir du 1er janvier 1890, Gustave Eiffel pourra jouir librement de l’exploitation commerciale de sa tour pour une durée de vingt ans, après quoi, la Ville de Paris se substituera à l’État pour en devenir l’unique propriétaire.

La construction sera rapide et surtout sans aucun accident mortel malgré les difficultés. Elle fut inaugurée le 31 mars 1889.

Le succès ne se dément pas lors de l’exposition universelle de 1889. Ensuite l’évolution du nombre de visiteurs faiblira et pour sauver sa Tour, car la ville de Paris en avait prévu la destruction à la fin du contrat, G. Eiffel développera des laboratoires météo, puis radio au sommet de la tour qui sécuriseront enfin l’avenir de la Tour

Notamment en 1903 il soutient, financièrement, le projet du capitaine Ferrié d’installer une station de TSF au sommet de la Tour. C’est un succès mais les habitants du quartier se plaignant de voir les militaires circuler sur le Champs de Mars, ils décident de construire « le bunker » sous le Champs de Mars ou seront installés les opérateurs radio.

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C’est par ce bunker que débute notre visite. Aujourd’hui il sert de stockage aux aliments nécessaires aux deux restaurants de la Tour. Durant la première guerre mondiale ce fut grâce aux messages captés par cette radio que fut engagée la bataille victorieuse de la Marne ainsi que la découverte du rôle d’agent double de Mata Hari.

En 1922 début de Radio Tour Eiffel puis en 1925, début des essais de la télévision.

Ensuite tout au long du XXème siècle la Tour deviendra un des emblèmes de Paris et de la France.

Notamment le remplacement des ascenseurs d’origine sauf dans le pilier Nord où nous avons visité la machinerie de l’ascenseur hydraulique ainsi que les fondations et base du pilier Nord.

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Aujourd’hui c’est la société SNTE (Société Nouvelle d’Exploitation de la Tour Eiffel) qui est exploitante, la ville de Paris restant propriétaire.

Actuellement il y a deux restaurants dont le Jules Vernes (restaurant étoilé). Nous finirons notre visite sur le toit du Jules Vernes avec une vue magnifique de Paris commentée par notre guide.

Je garde de cette visite encore mille anecdotes de notre guide et je vous recommande cette manière originale de découvrir cette grande dame qui illumine nos nuits parisiennes.

Pour réserver :

Site de Cultival : www.cultival.fr

Téléphone : 0825 05 44 05

Avant le 31/07/2013 bénéficiez de 10% de réduction avec le code LATE10

Un après-midi avec Barbara

Peggy, le 15 mars 2013

Article rédigé par Alain, Drômois en vacances à Paris.

Marie Hélène FERY offre un voyage dans le temps émouvant. L’évocation de Barbara est parfaite. Elle retrace son parcours de l’Ecluse au Chatelet, émaillé d’anecdotes et surtout des chansons mythiques de la grande dame brune appelée dans cette période la dame de minuit.

Le lieu, le petit théâtre du Studio Mari Bell met en valeur son interprétation remarquable et pleine de sensibilité et d’émotion. Accompagnée par Roger Pouly, pianiste de Charles Trenet et de Jacques Ferchit à l’accordéon le trio joue avec une complicité qui nous entraine dans cette période exceptionnelle.

barbara

Je vous invite à profiter des derniers jours de cette troisième saison (jusqu’à fin mars) pour vous plonger dans le monde de Barbara.

Site Internet : www.mariehelenefery.fr

Séances tous les dimanches à 16h00

Studio Mari Bell – 38, Bd. de Bonne Nouvelle – 75010 Paris

Réservations : 01-42-46-79-79

Métro Bonne Nouvelle

En manque de Paris, c’est grave docteur?

Peggy, le 12 février 2013

Article rédigé par Aurélie.

Imaginez un bon bain bien chaud alors que l’hiver bat son plein. Ca tombe plutôt bien ce
moment, c’est ce dont beaucoup d’entre nous rêvent, dans la mesure où, n’ayant pas de
baignoire, ne pouvons nous y plonger – et jouer avec les bulles et autres accessoires alléchants
de la sorte-

Voilà une image assez forte de ce que celui ou celle qui a eu la chance de coupler Paris et son
quotidien, il fut un temps, peut bien assimiler: appelons ce concept, le manque de Paris.
Paris et ses contrastes, son hostilité aussi grinçante que touchante, sa prestance honorable qui
n’a d’égal que sa petite touche de mégalomanie, bref, avec Paris, on vit in medias res. Tout le
monde entre directement au beau milieu de tout et de rien, de beaucoup d’autres choses en
réalité. Ces paramètres donnent d’ailleurs naissance à toutes les tentatives d’échappatoires
modernes pour sortir de cette drôle de bulle que constitue la vie dans la capitale (comprenez
ici les spas, salons de thé, cinémas et autres week-end en banlieue, mais pas trop loin quandmême).

Paris dans toute sa splendeur englobe ses propres paradoxes. Même si les remous
trépidants de la vie parisienne peuvent t’enlacer jusqu’à t’engloutir, impossible de s’en lasser
durablement, telle une énième cuillerée de la célèbre pâte à tartiner chocolat noisette, Paris
ou la génératrice d’endorphines. Et c’est un phénomène auquel malheureusement, forcé de
constater, on ne peut goûter, une fois qu’on se trouve en dehors, j’ai nommé la Province.
J’insiste pour le P majuscule.

Les Provinciaux ne comptent pas pour des pruneaux, enfin! Il est intéressant de noter le curieux
mélanges d’admiration et d’amertume envers les parisiennes: souvent dépeinte comme plutôt
brune, de taille moyenne voire grande, le mollet ultra fin et armée de lunettes king size ainsi que
d’une frange, à la classe folle. Les clichés ont la vie dure. Mais personne n’a dit que le rythme
allait être simple pour tout un chacun qui s’apprête à battre le pavé et obtenir les faveurs de la
plus belle ville du monde. Nos cousins anglophones disent “no pain, no gain”, et autant vous
dire à quel point ceci colle si bien à la peau des candidats à la vie parisienne. Car on le sait,
mais une piqûre de rappel me semble nécessaire, pour profiter pleinement des joyaux purement
intrinsèques à dame Paris, mieux vaut avoir une bourse plutôt fournie et ne pas avoir trop le
tournis.

Attention, habiter dans le Sud, par exemple, a ses charmes, ses attraits et surtout, bien des
partisans. La vie au soleil demeure, somme toute, très agréable, si ce n’était pour cet espèce
de grand fossé de silence qui se creuse peu à peu autour des journées et comme Baudelaire,
le spleen de Paris nous gagne. Une forme d’angoisse, relativement similaire à celle de la page
blanche. Peut-être une peur du vide que le nombre fort diminué de boutiques dans les autres
villes ne saura en vain combler. Paris, je suis désemparée, tu me parais bien loin. Quelques
souvenirs épars de ce kaléidoscope culturel en constante ébullition ne suffisent plus à calmer
les symptômes que font naître la tiédeur et le contre -coup de l’art de vivre plus obséquieux à la
provinciale. Jules Renard disait que si on rajoute deux lettres à Paris, on obtient le paradis. Moi
je voudrais ajouter qu’en changeant deux lettre de l’enfer, on obtient le non-Paris: l’envers. Bon,
j’admets avoir rajouté une troisième lettre (toute règle a ses exceptions après tout). L’idée, c’est
qu’une fois loin de Paris, on sent que rien n’est plus vraiment à sa place, ou presque. Le monde
ne tourne pas autour de Paris, certe, mais rien ne semble plus tourner rond.

C’est pénible quand-même et parfois hors de propos, tous ces discours surfaits et fatigants sur
la dualité Paris/Province. Dans certains domaines, oui, il y a un clivage. Le problème, s’il y en a
un pour de vrai, doit être ailleurs. Cependant, si l’on nuance et que l’on parle plutôt de décalage,
vivre dans la grande cohue de la fourmilière parisienne donne sincèrement l’impression d’être,
d’une certaine manière, au centre de tout, de se permettre d’oublier toute limite, de s’ouvrir sur
le reste du monde. Paris, ses paillettes et son goudron, ses grands mots et ses accablantes
erreurs de parcours. Une gamine qui ne vieillit jamais et que sa nièce new-yorkaise n’est pas
prête d’éclipser. Alors, non, ce n’est pas une histoire de privation qui créé le manque, c’est bel
et bien que Paris fait perdre la tête, et qu’on en redemande toujours, parce que ça ne s’explique
pas. Toulouse, ma ville natale, me vaudra toujours un infini respect et l’amour inconditionnel,
mais Paris, elle, conservera toute ma passion et les papillons dans l’estomac bien après ma
mort.

Pour la Saint-Valentin, découvrez le Paris Romantique

Jeff, le 7 février 2013

Article rédigé par Pauline.

Bientôt la Saint-Valentin, c’est une bonne occasion pour s’offrir un vol pour Paris et découvrir en amoureux les charmes romantiques de Paris !

La capitale abrite de nombreux endroits qui semblent faits exprès pour s’y promener à deux : baladez-vous à pied sur la Butte Montmartre, qui est resté un petit village avec ses propres vignes. Ses rues tranquilles ont inspiré de nombreux peintres et depuis les marches du Sacré-Coeur, vous découvrirez une vue panoramique sur Paris. A quelques pas de là, rendez-vous au Square des Abbesses où le Mur des Je T’aime attend tous les amoureux, avec ce message universel écrit en 311 langues.

nouvelle_athenes_4Au métro Pigalle, voici un musée à visiter pour la Saint-Valentin, le Musée de La Vie Romantique : petit hôtel particulier au fond d’une allée au charme intemporel, il retrace la vie artistique parisienne à l’Epoque Romantique (XIXe). Offrez-vous un peu de douceur sucrée à deux en découvrant le chocolat et son histoire grâce à Choco-Story,un musée du chocolat situé 28 boulevard Bonne-Nouvelle. Et pourquoi pas le Musée de l’Erotisme ? A la fois coquin et insolite, pour une visite synonyme de surprises (métro Pigalle).

Pour la Saint-Valentin, une promenade au soleil couchant s’impose : les quais de Seine aux abords de l’Ile Saint-Louis et de l’Ile de la Cité. Ou pourquoi pas une mini-croisière sur la Seine ? De nombreuses compagnies proposent aux amoureux une balade au fil de l’eau, pour admirer les monuments parisiens et les façades centenaires sous un angle très romantique.

Paris offre plein de possibilités pour une soirée de Saint-Valentin réussie : la mode des dîners dans le noir est une occasion d’explorer à deux des sensations nouvelles grâce à l’obscurité. Si vous aimez l’illusionnisme, Le Double Fond (métro St Paul), café-théâtre de la magie, organise une soirée spéciale le 14 février : vous pourrez même apprendre un tour de magie et le présenter sur scène.

Pour ceux qui aiment danser rétro et branché, le Bal à La Page vous invite à son bal populaire (on vous initie aux pas de danse!), et à l’écoute de textes romantiques ou inattendus sur l’amour (Auditorium St Germain, métro Odéon).

Pour votre nuit à Paris, il existe un hôtel original et très romantique, l’Hôtel Amour : situé à Montmartre, ses 20 chambres décorées par 20 artistes différents attendent tous les amoureux dans un cadre plein de charme, coloré et intime.

Belle fête des amoureux (de Paris) ;)

Quand Société fête 150 ans de plaisirs

Jeff, le 5 février 2013

Jeudi dernier avec Peggy nous étions invité à la soirée de célébration des 150 ans de Roquefort Société.

Le teasing de la soirée indiquait que nous allions « goûter aux plaisirs Société, sous toutes ses formes ».
En tant que fans de fromage, nous n’avons pas su résister et nous nous sommes rendu dans l’espace commines dans le 3ème arrondissement.
peg-societe

Lors de la soirée nous avons pu goûter différentes préparations au roquefort societe préparé par Alain Dutournier, chef cuisinier du Carré des Feuillants (2 étoiles au Guide Michelin).

Des mets et associations surprenantes avec des oeufs, du chocolats, du poisson, des légumes…
C’était tellement bon que les serveurs étaient dévalisés à peine sortie de la cuisine !

Lors de la soirée nous avons eu un discours du directeur général Christian Gentil qui nous a parlé de son amour pour la société. Ca sentait bon le terroir et Thierry Moysset, directeur des Forges de Laguiole, a abondé dans ce sens.

Les 2 entreprises aveyronnaises ont fait un partenariat pour cette occasion et nous en avons profité en tant que participants à la soirée car nous sommes repartie avec un laguiole édition limitée à 550 exemplaires ;)
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Le thème de ces 150 ans est le plaisir, aussi la marque à réalisé des affiches créatives sur ce thème.
Cela nous a rappelé la campagne de Aubade (avec ses leçons de séduction) qui avait cartonnée !
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Au delà de ça, la marque de roquefort société à imaginée un dispositif digital avec 3 sites :
le site officiel mis à jour, le site pour les 150 ans, et le site pour aller visiter les caves.

En parlant de caves, nous avons eu le plaisir d’échanger avec un des 4 maîtres affineurs de la société.
Un véritable passionné qui nous as donné envie d’aller visiter ces caves naturelles qui comportent plus de 22 000 m² de surface d’affinage.

Voici un film où l’on peut les apercevoir.

Ce sont plus de 3,8 millions pains de Roquefort qui sont produits chaque année dans ces caves et pour assurer la constance dans la qualité du produit, il faut veiller sur la températures et la ventilation des caves tous les jours.

Nous avons également appris qu’il existe plusieurs types d’affinages et qu’on peut trouver sur Paris des fromageries qui proposent des affinages spéciaux, plus puissant en gout, que l’on ne trouve pas dans la grande distribution. Nous allons mener notre enquête, nous vous dirons quand nous aurons trouver ces adresses.

D’ici là, nous vous souhaitons beaucoup de plaisirs pour 2013 ;)
2013